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beaucoup plus qu’il ne semble de l’époque où elles l’emportent, c’est-à-dire la fin des années ’50 et les années ‘60. Mais les choses commencent dans les années ’30  : dans la nuit entre le samedi 4 et le dimanche 5 juin 1932, départ du premier train populaire de Turin à Venise  : 1200 personnes pour le prix spécial de 30 lires aller-retour (70% de réduction). D’autres convois analogues partaient de Milan, Gênes, Bologne, Rome, Naples, et les semaines suivantes de Côme, Pavie, Varese, Vercelli. Toute une propagande en parle pour célébrer la bienveillance du Régime fasciste pour le peuple. À l’époque on voyage très peu  : seuls prenaient le train régulièrement les commis voyageurs des grandes industries du Nord, les jeunes paysans qui partaient au service militaire, prenant le train pour la première fois, ou les gens qui se rendaient à l’enterrement d’un parent ou à la naissance de leur petite fille. C’était le début du tourisme de masse, après la crise de 1929 qui avait aussi frappé l’Italie, créant du chômage et des baisses de salaires. 1932 marque le début de la reprise. Et on va pouvoir aller passer le dimanche à Venise, à Viareggio, sur les Dolomites. On avait le temps de visiter Saint- Marc, de photographier sa femme en train de donner des graines aux pigeons et de manger un repas «  Spécial  » pour 5 lires, «  repas spécial pour les promeneurs des  trains populaires  ». C’est aussi le début des bains de mer. Utilisés depuis la fin du XIXe siècle à des fins thérapeutiques par les gens riches dans la Versilia ou à Cattolica, où déjà dans les grands hôtels, des tuyaux apportaient  de l’eau de mer prise loin du bord et en grande profondeur pour des spray, des boissons, ou de petites douches. On commençait même à aller planter son «casotto o baracca  » sur la plage, les hommes le matin, les femmes l’après-midi. Celles-ci ne portaient pas de maillot de bain, mais un vêtement complet, tunique, pantalon aux genoux, chaussettes et souliers de toile, et coiffe sur la tête, un burkini avant l’heure. Les mères de famille pouvaient porter une chemise de nuit, et on pouvait se déshabiller dans une cabine, ou se baigner dans des cabines spéciales hors de la vue des gens. Mais on pensait déjà aussi à prendre le soleil, à se bronzer, et le mot «  tintarella  » entre dans le langage de la bourgeoisie, emprunté à l’argot des «  fiumaroli  » romains qui se baignaient depuis longtemps dans le Tibre, comme les gens du Nord dans le Pô ou ceux du Latium dans l’Aniene ou le Tibre. Et apparaît le maillot de bain, venu d’Amérique par les soins de Jazy Franck Gould, qui fonde Juan les Pins, et installe les saisons d’été sur la Côte d’Azur, avec ses palaces, tandis que sa femme Florence lance la mode des pyjamas de plage et de soirée. On donne à un couturier ses trois mesures (seins, taille, hanches) et on se fait fabriquer un maillot sur le modèle de ce que les cover girls (le Signorine Grandi Firme) diffusent sur les pages des revues de mode. On passe aux maillots de couleur, ou blancs pour les belles brunes, avec des armatures invisibles, des bretelles, etc. Même les hommes renoncent aux maillots rayés avec des manches, au profit de slips et de shorts dont Mussolini donne le ton sur la plage d’Ostie (Cf. ci-dessus). En Italie, un des centres les plus animés est Viareggio, qui passe en été de 40.000 à 150.000 dans les années ’30. Capri se développe. On consomme des glaces sur la plage, et les ongles des pieds se teignent de rouge. Pendant ce temps on se prépare à entrer en guerre. Cela suscite évidemment de nombreuses chansons, dont devaient se contenter ceux qui restaient en ville, comme le suggère la publicité de Cetra. Voici deux chansons, Strofette balneari de 1933 et Cantal o sciatore, de 1934  : Strofette balneari (Bixio, Masini 1933 Int.  : Crivel) Quando arriva luglio in città oh, che caldo che fa ! L'afa toglie quasi il respir, sembra, ahimé, di morir ! Si fan piene allor le stazion, che vociar sui vagon : « Ciao papà, ci verrai a trovar ? » E si va e si va verso il mar... Oh mare, oh mare, oh mare, davver ci fa incantare ... con tante bimbe grasse e magre brunette e bionde ... che al par di pesci guizzan liete già in mezzo all'onde !  Oh mare, oh mare, oh mare, nel matrimonio amico mio puoi affogare al mare, al mare, al mare  ! Sull'azzurro mare l'amor lega i giovani cuor quel giocondo vento maestral spinge al rito nuzial  ! E li fa così sbarazzin che l'ingenua bambin, prima ancor di esser là in città crede, ahimè, esser mamma di già ! Et on commence aussi à aller en montagne, où se développe la passion du ski en hiver ou de la promenade en été. Le Régime fasciste organise des «  Journées de la Neige  »  ; et au lieu de l’éternel Mazzolin di di fiori, on se met à chanter  Canta lo sciatore de Bixio et Cherubini  : Canta lo sciatore (Cherubini, Bixio 1934 Altro Interprete  : Crivel) « Quel mazzolin di fiori che vien dalla montagna ... » Quando la neve scende giù lieve non esitar si deve prendi il tuo sacco e lesto va dove più fioccherà ... Se il suo rigore mette timore a chi ha l'altano in cuore quando nel cuor c'è gioventù non si resiste più ! Si va sulla montagna dove la neve il volto ci abbronzerà ! L'ardor che ci accompagna come una fiamma il cuor ci riscalderà ! Salir, sempre salir mentre ogni valle canta così : Sci Sci ! Sciator, ripete il vento solo ardimento il tuo motto sarà ! Signorinella pallida e snella getta la tua gonnella, la tua pelliccia di vison, mettiti il pantalon ! Vecchio scarpone d'ogni passione vinci la tentazione non abbracciar più la Ninì, solo i fedeli sci ! « Quel mazzolin di fiori che vien dalla montagna ... » Sciator, ripete il vento, Solo ardimento il suo motto sarà, sarà! La chanson était tirée du film de Mario Camerini, La Signorina dell’autobus, interprété par Vittorio De Sica et Assia Noris  ; le ski était alors peu pratiqué parce que très coûteux, mais le Régime fasciste cherchait à tout prix à pousser les jeunes à faire du sport pour être des hommes forts, et cette petite marche devait les encourager  ! Après la guerre, l’Italie se remet lentement des destructions et de la misère  ; la constitution de1948, dans son article 36, déclare que «  le travailleur a droit au repos hebdomadaire et à des congés annuels rétribués, et il ne peut y renoncer  ». Le marché du tourisme de masse va donc peu à peu se développer  : en 1959, 13% des Italiens partent en vacances, 21% au début des années ’60. On part d’abord le week-end en emportant son repas, puis 3 ou 4 jours, puis jusqu’à 20 jours à la mer ou à la montagne. Les constructions touristiques se développent, souvent de façon désastreuse, car le Ministère du Tourisme n’est créé qu’en 1959, et il n’existe pas de politique cohérente du tourisme. La crise du pétrole des années ’70 bloque un peu l’évolution, mais le mouvement repart avec le développement de la société de consommation et en 1985, 46% des Italiens prennent des vacances, et les agences se multiplient. Sur 50% des Italiens qui partent, plus des 90% restent en Italie. C’est donc dans les années ’60 que la chanson va surtout chanter les vacances et la plage. Écoutons d’abord 2 chansons de Mina (Mina Anna Mazzini, née en Lombardie  en 1940). Elle devient célèbre dès 1958 avec son apparition sur ls scène de la Bussola de Pietrasanta en Toscane. La première chanson est Tintarella di luna, qui se moque  de la mode de se bronzer au soleil et de devenir violettes  : les maillots de bain se sont réduits, le bikini, déjà existant dans l’Antiquité, est repris par un couturier dès les années ’30, interdit en Italie en 1949, mais il devient à partir des années ’60 le symbole de la séduction et du sex appeal, adopté par le cinéma, Brigitte bardot, Marilyn Monroe, Jayne Mansfiels et Ursula Andress… en attendant le monokini et le burkini  !. Tintarella di luna (Franco Migliacci Bruno De Filippi Tintarella di luna Int.  : Mina,  1960) Abbronzate, tutte chiazze, pellirosse un po' paonazze son le ragazze che prendono il sol ma ce n'è una che prende la luna. Tintarella di luna, tintarella color latte tutta notte sopra il tetto sopra al tetto come i gatti e se c’è la luna piena tu diventi candida. Tintarella di luna, tintarella color latte che fa bianca la tua pelle ti fa bella tra le belle e se c'è la luna piena tu diventi candida. Tin tin tin raggi di luna tin tin tin baciano te al mondo nessuna è candida come te. Tintarella di luna, tintarella color latte tutta notte sopra il tetto sopra al tetto come i gatti e se c'è la luna piena tu diventi candida. Tin tin tin raggi di luna tin tin tin baciano te al mondo nessuna è candida come te. Tintarella di luna, tintarella color latte tutta notte sopra il tetto sopra al tetto come i gatti e se c'è la luna piena tu diventi candida. E se c'è la luna piena tu diventi candida. E se c’è la luna piena tu diventi candida, candida, candida ! Une seconde chanson de Mina est Un buco nella sabbia, de 1964  : la plage est devenue le lieu des amours ou de la fin d’un amour, enterré dans le sable. Un buco nella sabbia (Alberto Testa Piero Soffici Int.  : Mina, 1964) Ho fatto un buco nella sabbia per nascondere tutto quello che ho nel cuore per te ci ho messo dentro tutte quante le mie lacrime e le bugie che inventavi per me E quando spunta, quando spuntera la luna avrò per sempre dimenticato e quando spunta, quando spunterà la luna sarò di un altro innamorata Farai un buco nella sabbia per nascondere la delusione che ora provi per me credevi forse che sarei venuta a piangere e invece non tornerò piu da te E quando spunta, quando spunterà la luna avrò per sempre dimenticato e quando spunta, quando spunterà la luna sarò di un altro innamorata (instrumental break) Farai un buco nella sabbia per nascondere la delusione che ora provi per me credevi forse che sarei venuta a piangere e invece non tornerò piu da te. En 1962, Peppino di Capri suit la mode en chantant Saint-Tropez, lancée par Brigitte Bardot par son film de 1957, Et Dieu créa la  femme, et confirmée par cette chanson  : St Tropez twist (Cenci, Di Capri, Mazzocchi Int.  :Peppino di Capri, 1962) A St. Tropez la luna si desta con te e balla il twist contando le stelle nel ciel ma la stella ancor più bella non è in cielo è qui vicina a me a St. Tropez Ma la stella ancor più bella non e' in cielo e' qui vicina a me a St. Tropez Twist, twist, tutto il mondo           Twist, twist, sta impazzendo Sogna, vuol tornare una lunga notte ancora mai più scordare A St. Tropez la gente si chiede perché tu balli il twist portando un vestito in lamé Vuoi sembrare ancor più bella ma la moda è sempre quella se tu balli il twist Vuoi sembrare ancor più bella ma la moda è sempre quella se tu balli il twist Twist, twist, tutto il mondo Twist, twist, sta impazzendo ,vuol tornare una lunga notte ancora mai più scordare A St. Tropez la gente si chiede perché tu balli il twist portando un vestito in lamé Vuoi sembrare ancor più bella ma la moda è sempre quella se tu balli il twist Ballano cantano senti che brivido questa è la vita fantastica di St. Tropez. Mais la chanson de plage explose avec Sapore di sale de Gino Paoli en 1963. Il l’écrit en Sicile sur une plage déserte où il logeait avec son groupe pour un concert, et probablement la muse est Stefania Sandrelli. Gino Paoli a dit que cela semblait une chanson «  spensierata  », insouciante, mais qu’elle ne l’était en aucune façon, «  ce n’était qu’un flash, un éclair de lumière, un détachement de la réalité comme devrait l’être une vacance, un éloignement temporaire des habitudes consolidées  ». L’année 1963 fut en réalité une des plus difficiles, par la mort de Jean XXIII, l’assassinat de Kennedy, la tragédie du Vajont, les premiers signes de la fin du boom économique. Sapore di sale Texte et musique  : Gino Paoli Eté 1963 Sapore di sale sapore di mare Che hai sulla pelle Che hai sulle labbra Quando esci dall'acqua E ti vieni a sdraiare Vicino a me, vicino a me. Sapore di sale, sapore di mare Un gusto più amaro Di cose perdute Di cose lasciate Lontano da noi Dove il mondo è diverso Diverso da qui Il tempo è nei giorni Che passano pigri E lasciano in bocca Il gusto del sale. Ti butti nell'acqua E mi lasci a guardarti E rimango da solo Nella sabbia e nel sole. (bis) Poi torni vicino e ti lasci cadere Così nella sabbia E nelle mie braccia E mentre ti bacio Sapore di sale sapore di mare sapore di te. En 1965, Ornella Vanoni (1934- ) reprend le même thème avec Caldo de Pino Donaggio e Vito Pallavicini Caldo (Pino Donaggio e Vito Pallavicini Interprete  : Ornella Vanoni Caldo, 1965) Caldo com’è caldo questo sole com’è calda la tua pelle che si brucia sulla sabbia anche il mio cuore è caldo come il mio amore quest’amore che ho per te. Caldo sulla punta delle dita che ti sfiorano le labbra le tue labbra così calde io ti guardo felice tu mi sorridi esistiamo solo noi. Amore potrei restare così una vita accanto a te sdraiata così, vicina così, e non stancarmi mai. Caldo, com’ è caldo questo sole com’ è calda la tua pelle che si brucia sulla sabbia anche il mio cuore è caldo come il mio amore quest’ amore che ho per te. quest’ amore che ho per te Ces deux chansons sont d’une forte sensualité sans comparaison avec celle, beaucoup plus abstraite et superficielle de la plupart des chansons « de plage  » présentées au Festival de Sanremo et à la radio. Edoardo Vianello (Rome, 1938- ) est un autre auteur important de chansons de plage, par exemple avec Abbronzatissima, de 1963 aussi, avec un arrangement d’Ennio Morricone. Un grand succès   : Abbronzatissima (Edoardo Vianello e Rossi, Int.  : Vianello 1963) A A Abbronzatissima sotto i raggi del sole come è bello sognare abbracciato con te. A A Abbronzatissima a due passi dal mare come è dolce sentirti respirare con me. Sulle labbra tue dolcissime un profumo di salsedine sentirò per tutto il tempo di questa estate d'amor. Quando il viso tuo nerissimo tornerà di nuovo pallido questi giorni in riva al mar non potro' dimenticar. A A Abbronzatissima sotto i raggi del sole a due passi dal mare abbracciato con te. Sulle labbra tue dolcissime un profumo di salsedine sentirò per tutto il tempo di questa estate d'amor. Quando il viso tuo nerissimo tornerà di nuovo pallido questi giorni in riva al mar non potro' dimenticar. A A Abbronzatissima sotto i raggi del sole a due passi dal mare abbracciato con te A A Abbronzatissima Il avait déjà écrit en 1962 Pinne, fucile ed occhiali   (Palmes, fusil et lunettes Pinne fucile ed occhiali (Edoardo Vianello e Rossi Int.  : Vianello, 1962) Con le pinne fucile ed occhiali quando il mare è una tavola blu sotto un cielo di mille colori ci tuffiamo con la testa all'ingiù mentre tutta la gente è assopita sulla sabbia bruciata dal sol ci scambiamo nell'acqua salata un dolcissimo bacio d'amor Con le pinne fucile ed occhiali quando il mare è una tavola blu sotto un cielo di mille colori ci tuffiamo con la testa all'ingiù mentre tutta la gente è assopita sulla sabbia bruciata dal sol ci scambiamo nell'acqua salata un dolcissimo bacio d'amor mentre tutta la gente e' assopita sulla sabbia bruciata dal sol ci scambiamo nell'acqua salata un dolcissimo bacio un dolcissimo bacio un dolcissimo bacio d'amor PAGE SUIVANTE
La chanson par thème : chants de vacances et de plage
Quand juillet arrive en ville Oh, quelle chaleur il fait ! Le temps lourd coupe presque le souffle, Il semble, hélas, qu’on va mourir ! Alors les gares se remplissent, Quel brouhaha dans les wagons : « Salut, papa, tu viendras nous trouver ? » Et on va et on va vers la mer … Oh mer, oh mer, oh mer, Tu nous enchantes vraiment … Avec tant de minettes grosses et maigres, Petites brunes et petites blondes Qui comme des poissons Frétillent gaiement au milieu des eaux ! Oh mer, oh mer, oh mer, Mon ami tu peux te noyer dans le mariage A la mer, à la mer, à la mer ! Sur la mer bleue l’amour Attache les coeurs jeunes Ce joyeux vent de mistral Pousse au rite nuptial ! Et il les rend si espiègles Que la fillette ingénue Croit déjà avant d’être en ville Hélas, être déjà maman !
Le skieur chante « Ce petit bouquet de fleurs qui vient de la montagne … ». Quand la neige Descend légère N’hésite pas, on doit le faire, Prends ton sac et va vite Où il neigera le plus … Si sa rigueur Donne de la peur, A qui a du vent dans le coeur Quand la jeunesse est dans le coeur On ne résiste plus ! On va sur la montagne Où la neige nous bronzera le visage ! L’ardeur qui nous accompagne Comme une flamme nous chauffera le coeur ! Monter, toujours monter Tandis que les vallées Chantent : Ski, ski ! Skieur, répète le vent Rien que de l’ardeur, ce sera ta devise ! Petite jeune fille pâle et mince Jette ta jupette, Ton manteau de vison, mets des pantalons ! Vieux godillot De toutes les passions Libère-toi de la tentation N’embrasse plus Ninì, rien que tes skis fidèles ! « Ce petit bouquet de fleurs qui vient de la montagne … ». Skieur, répète le vent, Rien que de l’ardeur, ce sera, ce sera ta devise !
La chanson a été écrite pour la voix de la jeune Mina et sera reprise dans presque tous les films italiens de rock’n’roll de l’époque.
Bronzage de lune Bronzées, toutes en taches brunes Peaux rouges un peu, un peu violettes Sont les jeunes filles qui prennent le soleil, mais il y en a une qui prend la lune. Bronzage de lune Bronzage couleur de lait Toute la nuit sur le toit Sur le toit comme les chats Et s’il y a pleine lune Tu deviens blanche. Bronzage de lune Bronzage couleur de lait Qui rend ta peau d’une blancheur éclatante Te fait devenir la plus belle Et s’il ya a pleine lune Tu deviens d’une blancheur éclatante Tin tin tin Les rayons de lune Tin tin tin T’embrassent Personne au monde n’est aussi blanche que toi Bronzage de lune Bronzage couleur de lait Toute la nuit sur le toit Sur le toit comme les chats Et s’il y a pleine lune Tu deviens d’une blancheur éclatante Tin tin tin Les rayons de lune Tin tin tin T’embrassent Personne au monde n’est aussi blanche que toi Bronzage de lune Bronzage couleur de lait Toute la nuit sur le toit Sur le toit comme les chats Et s’il y a pleine lune Tu deviens d’une blancheur éclatante Et s’il y a pleine lune Tu deviens d’une blancheur éclatante Et s’il y a pleine lune Tu deviens d’une blancheur éclatante, éclatante.
Un trou dans le sable J’ai fait un trou dans le sable pour cacher Tout ce que j’ai dans le coeur pour toi J’ai mis dedans toutes mes larmes Et les mensonges que tu inventais pour moi Et quand pointe, quand pointera la lune, J’aurai pour toujours oublié Et quand pointe, quand pointera la lune, Je serai amoureuse d’un autre. Tu feras un trou dans le sable pour cacher La déception que tu éprouves maintenant à mon égard Tu croyais peut-être que je viendrais pleurer Et au contraire je ne reviendrai plus chez toi. Et quand pointe, quand pointera la lune, J’aurai pour toujours oublié Et quand pointe, quand pointera la lune, Je serai amoureuse d’un autre. Tu feras un trou dans le sable pour cacher La déception que tu éprouves maintenant à mon égard Tu croyais peut-être que je viendrais pleurer Et au contraire je ne reviendrai plus chez toi.
Le twist (de l’anglais « to twist » = se tortilller) apparaît au début des années ’60 et devient vite un phénomène de société. Di Capri écrit alors cette chanson qui eut un succès formidable, unissant la danse avec le parfum de Brigitte Bardot à St Tropez. Il est accompagné par les Rockers et leur saxophoniste Gabriele Varano.
À St Tropez La lune se lève avec toi Et danse le twist En comptant les étoiles dans le ciel Mais l’étoile encore plus belle N’est pas dans le ciel, elle est là à côté de moi à St Tropez Mais l’étoile encore plus belle N’est pas dans le ciel, elle est là à côté de moi à St Tropez Twist, twist, tout le monde Twist, twist, devient fou Il rêve, il veut revenir encore Pour une longue nuit et ne plus jamais oublier À St Tropez Les gens se demandent pourquoi Tu danses le twist En portant un vêtement de lamé Tu veux paraître encore plus belle Mais c’est toujours la mode si Tu danses le twist Tu veux paraître encore plus belle Mais la mode est toujours la même si Tu danses le twist Twist, twist, tout le monde Twist, twist, devient fou Il rêve, il veut revenir encore Pour une longue nuit et ne plus jamais oublier À St Tropez Les gens se demandent pourquoi Tu danses le twist En portant un vêtement de lamé Tu veux paraître encore plus belle Mais la mode est toujours la même si Tu danses le twist Ils dansent, ils chantent Sens quel frisson C’est la vie fantastique de St Tropez.
Peppino di Capri danse le twist
L’arrangement est de Ennio Morricone ; le musicien de jazz est l’argentin Gato Barbieri, saxophoniste.
Saveur de sel Saveur de mer Que tu as sur la peau Que tu as sur les lèvres Quand tu sors de l'eau Et que tu viens t'étendre près de moi, près de moi. Saveur de sel Saveur de mer Un goût un peu amer De choses perdues, De choses laissées Loin de nous, Là où le monde est différent, Différent d'ici Le temps est dans les jours Qui passent, paresseux Et laissent dans la bouche Le goût du sel. Tu te jettes dans l'eau Et tu me laisses te regarder Et je reste seul Dans le sable et dans le soleil. Puis tu reviens près de moi et.tu te laisses tomber Comme ça dans le sable Et dans mes bras, et tandis que je t'embrasse, Saveur de sel, saveur de mer Saveur de toi
Chaud Comme il est chaud ce soleil Comme elle est chaude ta peau qui brûle sur le sable mon coeur aussi est chaud comme mon amour cet amour que j’ai pour toi. Chaud Sur le bout de mes doigts Qui t’effleurent les lèvres Tes lèvres si chaudes. Je te regarde heureuse Tu me souris Nous sommes seuls à exister. Mon amour je pourrais rester ainsi Une vie à côté de toi Couchée ainsi A tes côtés, Et ne jamais me fatiguer. Chaud Comme il est chaud ce soleil Comme elle est chaude ta peau qui brûle sur le sable mon coeur aussi est chaud comme mon amour cet amour que j’ai pour toi. Cet amour que j’ai pour toi.
A A Absolument bronzée Sous les rayons du soleil Comme il est bon de rêver En t’étreignant. A A Absolument bronzée A deux pas de la mer Comme il est doux de te sentir Respirer avec moi. Sur tes lèvres très douces Un parfum de sel Je sentirai tout le temps De cet été d’amour. Quand ton visate très noir Redeviendra à nouveau pâle, Ces jours au bord de la mer Je ne pourrai pas les oublier. A A Absolument bronzée Sous les rayons du soleil Comme il est bon de rêver En t’étreignant. Sur tes lèvres très douces Un parfum de sel Je sentirai tout le temps De cet été d’amour. Quand ton visate très noir Redeviendra à nouveau pâle, Ces jours au bord de la mer Je ne pourrai pas les oublier. A A Absolument bronzée Sous les rayons du soleil A deux pas de la mer En t’étreignant A A Absolument bronzée
Avec mes palmes, Mon fusil et mes lunettes Quand la mer Est une étendue bleue Sous un ciel De mille couleurs, Nous plongeons La tête en bas Tandis que tout le monde est assoupi Sur le sable brûlé Par le soleil Nous échangeons Dans l’eau salée Un très doux baiser d’amour. Avec mes palmes, Mon fusil et mes lunettes Quand la mer Est une étendue bleue Sous un ciel De mille couleurs, Nous plongeons La tête en bas Tandis que tout le monde est assoupi Sur le sable brûlé Par le soleil Nous échangeons Dans l’eau salée Un très doux baiser d’amour Tandis que tous les gens sont assoupis Sur le sable brûlé par le soleil Nous échangeons Dans l’eau salée Un très doux baiser Un très doux baiser Un très doux baiser d’amour
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